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Observer
![]() Recevez chez vous le Guide Ornitho et soutenez notre association. Pour 38,40 euros port compris, recevez chez vous le Guide Ornitho de Peter J. Grant, Killian Mullarney, Lars Svensson, Dan Zetterstom, aux éditions Delachaux et Niestlé, le guide d'identification de référence, conseillé par la LPO-IDF. Vous soutiendrez ainsi financièrement notre association. > Télécharger le bon de commande ![]() Vous pouvez commander l'Atlas des oiseaux nicheurs du Grand Paris. Pour 32 euros port compris, recevez le chez vous. > Télécharger le bon de commande Vous pouvez également l'acheter en ligne via le site helloasso. Noter ses observations> Observer utile : fiches d'observation, d'homologation... Participer à des études> L'Observatoire régional > L'Atlas national des oiseaux nicheurs > L'Atlas des oiseaux nicheurs du Grand Paris > Les faucons crécerelles de Paris > L'Enquête moineaux Corif/LPO Et d'autres encore... Renseignez-vous. Où observer les oiseaux> Les principaux sites Balades et observations
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Soutenez la Délégation régionale LPO Île-de-France ![]() RecrutementLa délégation LPO Île-de-France recherche un(e) Educateur(trice) nature H/F(Réf : 2LB23048) La LPO recrute un(e) éducateur(trice) nature afin de renforcer l'équipe d'animation de la LPO Île-de-France. Il (elle) préparera et assurera des interventions pédagogiques et des sorties naturalistes. Il (elle) a vocation à intervenir de façon transversale avec les éducateurs nature et les autres équipes de la LPO Île-de-France. Les candidats (es), forts (es) de leusr expériences, devront faire preuve d'une forte autonomie, de sérieux et d'un important esprit d'équipe.
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Le Refuge LPO comporte une zone de 2500 m² entièrement clôturée qui est laissée en libre évolution. Il sera complété ultérieurement par un parc boisé de 19 000 m². La LPO Ile-de-France a rédigé un plan de gestion du site sur 5 ans, afin d'optimiser l'accueil de la biodiversité. Des inventaires faunistiques et floristiques ont été réalisés au printemps.
Le parc comporte des boisements matures et de nombreux petits biotopes (muret de pierres sèches...). La nature y trouve sa place et les produits phytosanitaires sont bien sûr complètement abandonnés, conformément à la loi Labbé(1).
Le volet pédagogique n'a pas été oublié puisque le Refuge LPO sera accessible aux écoles et au public lors de séances "portes ouvertes" de sensibilisation à la nature et à la préservation de la biodiversité.
(1) Loi Labbé : loi n° 2014-110 du 6 février 2014 encadrant l’utilisation des pesticides sur l’ensemble du territoire national et s’appliquant aux espaces verts, voiries, jardins des particuliers. La loi Labbé interdit depuis le 1er janvier 2017, l’emploi des pesticides aux collectivités territoriales et a étendu cette interdiction le 1er janvier 2019 aux particuliers.
Les aéroports étant des espaces naturellement protégés, ils peuvent constituer des réserves de biodiversité. Ces espaces aéroportuaires abritent une faune et une flore, spécialement des espèces liées aux milieux agricoles, et constituent un réseau potentiel fournisseur de données biologiques.
Cette convention de 3 ans permettra à la LPO-IDF de disposer de données naturalistes relevées dans l’enceinte de l’aéroport et à l’aéroport de Paris-Orly de mieux comprendre les dynamiques et les déplacements des espèces sur le site et ses alentours.
L’aéroport de Paris-Orly pourra également solliciter la LPO-IDF pour des études et/ou des expertises-conseils spécifiques sortant du cadre de l’échange de données.
Ce partenariat inédit sur l’aéroport de Paris-Orly, pose les modalités selon lesquelles :
La Perruche à collier (Psittacula krameri) est une espèce originaire de la zone subtropicale, de l’Afrique de l’ouest au sous-continent indien dont principalement la sous-espèce indienne a longtemps fait l’objet d’une importation légale.
De nombreux individus se sont échappés et se sont acclimatés dans de nombreuses grandes villes européennes (Londres, Bruxelles, Amsterdam, Barcelone, Madrid, Rome, etc.).
En France on trouve des populations des Perruche à collier à Lille, Marseille, Nice, Toulouse, Montpellier, Nancy, etc. (Issa et Muller 2015)
Pour l’Île-de-France, les évènements fondateurs de la populations actuelles se sont passés principalement dans les années 90 (même s’il y avait déjà des cas de reproduction à partir des années 70) dans les aéroports d’Orly et Roissy- Charles de Gaulle. (Clergeau 2009 ). Le premier couple nicheur dans Paris a été trouvé en 2008. Il est très difficile d’en estimer la population : elle était donnée pour 5000 individus en 2015 (Malher et al. 2020) et doit dépasser 8000 individus en 2021.
Pour soutenir des colonies de moineaux qui ont été repérées grâce à l'étude que mène la LPO-IDF sur les colonies de moineaux de Paris, les opérations Quartier Moineaux vont permettre de disposer des nichoirs et encourager la plantation de plantes à graines et de plantes qui vont attirer les insectes. En 2022, l'opération a concerné trois quartiers de Paris, dans les 13e, 14e et 18e arrondissements. En 2023, elle est étendue à quatre autres quartiers dans les 11e, 12e, 19e et 20e arrondissements.
Dans ces quartiers, la Mairie de Paris installe des nichoirs sur des bâtiments qui dépendent d'elle. Des nichoirs ont été également distribués à des habitants des quartiers concernés qui se sont portés candidats pour les installer sur leurs immeubles.
Dans les deux cas, les bâtiments concernés ont été sélectionnés pour correspondre au mieux aux conditions de succès de la colonie. L'emplacement des nichoirs, la proximité de buissons qui peuvent servir d'abri aux moineaux et la proximité de sources de nourriture comme les plantes à graines ou attirant les insectes ont en particulier été prises en compte.
Cette opération est menée à titre expérimental dans l'espoir de l'étendre à d'autres quartiers, en tenant compte de l'expérience acquise.
Vous pouvez contribuer à l'évaluation des résultats de cette expérience en nous faisant parvenir les observations de moineaux que vous pourrez faire dans les quartiers concernés (il seront signalés par des panneaux spécifiques).
Pour cela, vous pouvez remplir un formulaire en suivant le lien ci-dessous :
>Transmettre des observations dans un Quartier Moineaux
Si vous souhaitez en savoir plus sur l'enquête que mène la LPO-IDF sur les moineaux de Paris depuis 2003, cliquez ici.
La LPO Île-de-France ouvre son prochain cycle d'apprentissage à l'ornithologie en cours du soir ouvert à tous. Vous serez accompagnés et guidés tout au long de l'année dans la pratique de l'ornithologie pour ainsi identifier les espèces de la région au fil des saisons.
Reconnaître un oiseau réside dans la méthodique reconstitution d’un puzzle aux éléments épars. Mais la pratique de l’ornithologie réclame aussi un socle de connaissances minimum. Il faut tenir compte de la morphologie, noter les différents comportements et attitudes...
Le cycle d'apprentissage se divise en deux niveaux. Le niveau 1 pour les débutants et le niveau 2 pour les stagiaires ayant déjà suivi le niveau 1 et les personnes ayant déjà une pratique de l'ornithologie (reconnaissance d'une vingtaine d'espèces à la vue et au chant).
Ces formations vous permettront d’acquérir des connaissances scientifiques, techniques, et méthodologiques nécessaires à la pratique de l’ornithologie.
Auprès de la LPO Île-de-France : 01.53.58.58.38.
Retrouvez toutes les informations sur cette formation en telechargeant les plaquettes ci-dessous.
Mercredi 19 mai, Barbara Pompili, Bérangère Abba et Allain Bougrain Dubourg ont inauguré un Refuge LPO au jardin de l’hôtel de Roquelaure, siège du Ministère de la Transition écologique dans le 7e arrondissement de Paris.
Pour la 15ème édition de la Fête de la Nature, le ministère de la Transition écologique a donc officiellement rejoint le réseau des Refuges LPO qui fête ses 100 ans en 2021 !
L'arc héberge en effet, depuis au moins 1846*, une colonie d'Hirondelles de fenêtre (Delichon urbicum), une vingtaine de couples ces dernières années, et les travaux de rénovation vont s'étaler sur une durée plus longue qu'une saison de reproduction. Il est impossible d'empêcher cette rénovation, il faut donc l'accompagner.
Une première réunion de prise de contact, présentation de l'espèce et de sa biologie, première discussion sur les solutions possibles, a eu lieu en novembre 2018. L'accueil a été tout à fait positif et le principe de tout faire pour faciliter la survie de la colonie a été acté immédiatement. En fait, nous travaillons en bonne intelligence, depuis quelques temps déjà, avec la direction du Louvre.
L'accord s'est donc fait rapidement autour de la pose, au moins provisoire, d'une tour à hirondelles (un pylone surmonté d'un toit pour abriter les nids et qui culmine à 4,30 m) équipée de deux hauts-parleurs, alimentés à l'énergie solaire, diffusant des chants d'hirondelles.
Quelques réunions et visites de chantier ont permis ensuite de préciser les détails de l'opération, en particulier la localisation de la tour. Il importait en effet que celles-ci soit le plus proche possible de l'arc et dans une zone dépourvue d'obstacle, permettant un envol et une arrivée directs des hirondelles.
La pose, prévue pour fin mars 2020 (avant le retour de migration des premières hirondelles), a dû être reportée d'un an pour des raisons techniques, ce qui n'a eu aucune incidence car aucun travaux n'ont affecté la zone des nids en 2020.
La mise en service de la tour a eu lieu le 25 mars 2021 : il ne reste plus qu'à attendre les hirondelles qui ne sont pas loin... Et si cette tour a été mise en place deux ans avant le démarrage des travaux, c'est pour que les hirondelles s'habituent à cet abri et qu'elles l'occupent effectivement quand la restauration démarrera en 2023.
* Cette colonie d'Hirondelle de fenêtre sous l'Arc de triomphe du Carrousel est mentionnée par Victor Hugo dans son Journal de ce que j'apprends chaque jour : « Il y a sous la voûte de l'arc du Carrousel une multitude de nids d'hirondelles. Le matin, elles se perchent avec des cris joyeux sur les statues des soldats de la Grande Armée. » (6 août 1846)
Vous pouvez le commander en téléchargeant ce bon de commande, vous pouvez également l'acheter en ligne.
Vous pourrez récupérer vos achats (pensez également à vous procurer notre calendrier 2021) à notre local de la LPO Île-de-France, dans le parc Monsouris. Mais, avec les restrictions liées au Covid, les horaires d'ouvertures nos bureaux sont restreints et l'accès est limité à 6 personnes par heure.... Merci d'indiquer vos heure de passage dans nos locaux situés au 26 boulevard Jourdan, dans le Parc Montsouris, 75014 Paris en remplissant ce formulaire.
A cette occasion, Frédéric Malher, délégué régional de la LPO Île-de-France, présentera l’évolution des populations d’oiseaux dans la capitale dans une visioconférence le 2 décembre 2020. Sont-elles en diminution ou au contraire en augmentation ? Peut-être serez-vous surpris ?
Si vous ne pouvez pas assister en direct à cette conférence, un enregistrement, le 18 novembre 2020, d'une première session est en ligne sur la chaine YouTube de Paris-Nature.
Comme nous sommes nombreux à continuer de télétravailler et que nous avons découverts des zones insoupçonnées de biodiversité dans notre km, nous vous proposons de continuer le protocole à l’heure des oiseaux durant le mois de décembre.
Les règles restent les mêmes, une saisie par formulaire, un rayon d’1km de chez soi, 1h de balade et toujours le même code “heure_oiseaux”.
Pour toutes vos autres observations, nous vous invitons à utiliser à la saisie par formulaire, sans ajouter de code étude.
Dès le 1er décembre, le protocole SHOC commence, si vous avez un carré STOC ou si vous souhaitez participer, n’hésitez pas à revenir vers le muséum : shoc@mnhn.fr
Le protocole SHOC est disponible ici
Belles observations à tous !
Cette liste des 367 espèces d'oiseaux et de leurs sous-espèces connues en Île-de-France est une mise à jour (au 1er janvier 2020) de celle parue dans Les Oiseaux d'Île-de-France (Le Maréchal et al., 2013). Elle suit la nouvelle liste des Oiseaux de France (LOF) établie par la Commission de l’avifaune française (CAF, 2020) pour le classement des taxons (espèces et sous-espèces) dans les catégories A, B et C. La CAF qui suivait une liste européenne jusqu'en 2018, a choisi de suivre la liste mondiale de l'International Ornithological Committee.
https://www.worldbirdnames.org/
https://en.wikipedia.org/wiki/International_Ornithologists%27_Union
Lorsqu'il n'y a pas de preuves formelles qu’une sous-espèce ait été identifiée dans notre région, alors que sa présence y est probable de par sa répartition en France, un point d’interrogation précède le nom scientifique. Lorsque qu'il n'y a aucune information sur le statut subspécifique, l’expression : "appartenance subspécifique inconnue" a été utilisée.
- Les colonnes 1 et 2 permettent de classer la liste selon les recommandations de la Commission de l'Avifaune Française (CAF, 2020). La colonne 1 pour les espèces seules, la colonne 2 pour les espèces et sous-espèces.
- La colonne 3 précise les catégories A, B et C de la LOF. Catégorie A (origine naturelle des individus et des populations concernés, taxon observé au moins une fois depuis le premier janvier 1950), B (origine naturelle mais taxon pas observé après le 1er janvier 1950), C (individus d’origine naturelle appartenant à une population maintenant établie à l’état sauvage mais qui dérive d’individus échappés de captivité ou introduits).
- La colonne 4 donne respectivement les noms scientifiques et les descripteurs (autorités) du taxon (le descripteur est entre parenthèses quand le nom scientifique a changé depuis la première description), la colonne 5, les noms vernaculaires.
- Les colonnes 6, 7, 8, 9 et 10 fournissent le statut biologique réduit selon la codification utilisée dans les Oiseaux d'Île-de-France et reprise ci-dessous. La colonne 6 reprend les estimations d'effectifs nicheurs de L'Atlas des oiseaux nicheurs d'Île-de-France (2017).
N : espèce nicheuse
NS : espèce nicheuse dont la majorité de la population est considérée comme sédentaire
M : espèce observée en migration
H : espèce hivernante (séjour d'au moins 15 jours entre le 15 décembre et le 15 février)
S : sédentaire
O : espèce nicheuse occasionnelle ou qui ne niche pas tous les ans
TR : très rare, de 1 à 20 couples
R : rare, de 21 à 200 couples
PC : peu commun, de 201 à 2000 couples
C : de 2001 à 20 000 couples
TC : de 20 001 couples à 100 000 couples et plus
Les 2 colonnes suivantes donnent le statut migrateur et hivernant selon la codification ci-dessous.
Statut migrateur et/ou hivernant
O : occasionnel
TR : très rare, de 1 à 50 ind.
R : rare, de 51 à 500 ind.
PC : peu commun, de 501 à 5 000 ind.Fichier
C : commun, de 5 001 à 50 000 ind.
TC : très commun, de 50 001 à 250 000 ind. et plus
- La colonne "XIXe siècle" rappelle les espèces qui n’ont pas été revues depuis la fin de ce siècle en Île-de-France.
- La dernière colonne concerne les espèces introduites ou échappées de captivité, mais faisant partie de la Liste officielle des Oiseaux de France en catégorie C (espèces capables de maintenir des populations viables sans apport supplémentaire d’origine humaine).
La liste des oiseaux d'Île-de-France 2020 comprend 155 espèces nicheuses rares ou régulières et 31 nicheuses occasionnelles.
- Atlas des oiseaux nicheurs d'Île-de-France 2009-2014 (AON IDF, 2017). CORIF ; 203 pages.
- Le Maréchal P., Laloi D. et Lesaffre G. (2013). Les oiseaux d'Île-de-France. Nidification, migration, hivernage. CORIF-Delachaux et Niestlé, Paris, 512 pages.
- CAF (2020). Liste officielle des Oiseaux de France - version 2020 (catégories A, B et C). Ornithos 27-3 : 170-185.
- Rapports du Comité d'Homologation Régional publiés dans Le Passer, revue du CORIF, puis de la LPO Île-de-France.
> Téléchargez la liste actualisée des oiseaux d'Île-de-France
La présence des faucons crécerelles sur la cathédrale Notre-Dame est attestée au moins depuis 1840 par Zéphirin Gerbe (1810 – 1890). Pour autant, cette présence n’a pas été continue dans la mesure où, vers les années 1870, ils avaient disparu de Paris. En effet, Nérée Quépat (1845 – 1927), de son vrai nom René Paquet d'Hauteroche (le verlan ne date pas d’aujourd’hui…), fait part de sa surprise de voir un couple présent longuement dans les ruines du palais de Justice et la préfecture de Police après les incendies de la Commune. En soulignant le caractère exceptionnel de son observation, Quépat témoigne ainsi de la disparition des faucons crécerelles de Paris et avance que l’extension du tissu urbain en est la cause avec l’augmentation de la distance à parcourir pour aller se nourrir en banlieue. Les crécerelles ne sont revenues à Paris que vers le milieu du XXe siècle.
A partir de 2019, un numéro par an, avec une mise en ligne des articles au fur et à mesure de leur édition, sera publié avec une pagination continue.
La création du Passer est subséquente à celle du Groupe Ornithologique Parisien (G.O.P) en 1966 qui, par la suite, fusionnera avec l'Association Parisienne Ornithologique (A.P.O) en 1982 pour donner naissance au Centre Ornithologique Ile-de-France (Corif). En 2018, le Corif fusionne à son tour avec la Ligue pour la Protection des Oiseaux (LPO) pour créer ainsi la délégation LPO Île-de-France.
Au départ, Le Passer était une simple revue sous forme de feuilles ronéotypées avec une dactylographie sur stencils et un tirage par ronéo. Très vite, le volume des articles devenu trop important pour continuer ainsi, la composition est devenue plus professionnelle, avec plusieurs changements de format et de la taille des caractères.
Le contenu, dès les premiers numéros, a fait la part belle aux synthèses régionales mais la publication d'articles sur des espèces rares est restée une constante ainsi que des petites études sur quelques espèces et des suivis réguliers de sites ou d’espèces à faibles effectifs.
L'une des difficultés majeures, à laquelle les responsables du Passer ont sans cesse été confrontés, a été le maintien d'un rythme régulier de parution. En effet, les synthèses étant de plus en plus longues à rédiger, les relances des auteurs également de plus en plus fréquentes, le décalage entre le recueil des données et la publication des synthèses n'a cessé de s'agrandir pour devenir finalement rédhibitoire.
La mise en ligne des articles vise précisément à réduire cet intervalle de temps et conserver ainsi toute la pertinence des articles.
En ville, les parcs municipaux ou privés, les jardins d'immeubles, les voies aménagées avec des arbres ou des arbustes sont autant d'habitats pour un grand nombre d'espèces d'insectes, d'oiseaux, voire de mammifères. Les roselières sont également des habitats précieux pour certaines espèces d'oiseaux qui s'y protègent ou y nichent. Préserver cette végétation est donc d'une grande importance pour le développement de la biodiversité urbaine. Nous recommandons donc de procéder aux élagages entre octobre et février : pour les plantes (métabolisme ralenti en hiver) et évidemment pour éviter de porter atteinte aux couvées d’oiseaux. Lors de vos travaux d’entretien, attention également aux autres espèces protégées (hérissons, crapauds, chauves-souris...) qui se cachent parfois sous des haies, des tas de feuilles, de bois ou dans les troncs creux.
L’évènement s’est déroulé sur le Jardin Ver Têtu, autour d’une après-midi ouverte aux parisiens proposant plusieurs stands dont un sur les Refuges LPO, animée par Estelle Veyssière, Chargée de développement de la Vie associative. Deux stands de la Direction des espaces verts et de l’environnement de la ville proposaient la réalisation de mobiles "oiseaux" et la construction de nichoirs.
Le 20 décembre 2018, RTE a installé un nichoir sur un pylône d’une ligne 225 000 volts situé aux abords du parc départemental du lac de Créteil afin de favoriser la nidification d'un couple de Faucon crécerelle. Cette zone, entre espace vert et voie rapide, constitue, en effet, un terrain de chasse pour ce rapace. Un couple avait préalablement été repéré par le collectif du lac de Créteil, il y a quelques mois, dans le cadre d’un programme d’observation de la biodiversité dans le parc.
La LPO Île-de-France et les équipes RTE ont travaillé ensemble pour réaliser un nichoir adapté au pylône. Celui-ci a été orienté nord-est.
Pendant l'installation du nichoir, un couple de Faucon crécerelle a d'ailleurs été observé en train de chasser...
Ces prédations auront-elles un effet sur le développement de la population de ces perruches de plus en plus présentes en Europe, en particulier dans ses grandes villes ?
Les prédateurs vont-ils adapter leur régime alimentaire ? Des observations faites à Londres et recueillies par les auteurs de l'étude pourraient le laisser penser.
Les photographes mettent leur passion en commun, échangent leurs expériences, organisent ensemble des prises de vues, coordonnent leurs contributions à la photothèque de notre association, illustrent les sujets sur lesquels la LPO-IDF intervient...
> Ecrivez à ile-de-france@lpo.fr
pour en savoir plus.
La LPO-IDF a doté la capitale de l'ouvrage de référence
qui lui manquait.
Aujourd'hui, dix ans après, notre association se lance à nouveau dans l'inventaire des oiseaux nicheurs de notre région en vue de la deuxième édition de l'atlas.
Dans de nombreuses capitales européennes, leur population est en déclin. L'enquête LPO-IDF cherche à savoir ce qu'il en est chez nous.
> En savoir plus sur l'enquête
La Mairie de Paris, en partenariat avec la LPO-IDF, expérimente la mise en place de nichoirs et d'autres mesures dans le cadre des « Quartiers Moineaux ».
Site mis à jour le 12/09/2023 © LPO-IDF 2007-2023. Délégation LPO Île-de-France - Parc Montsouris - 26, boulevard Jourdan - 75014 PARIS La LPO-IDF est une association Loi 1901 agréée par le Ministère de l'Environnement. Ce site utilise des cookies pour vous permettre le partage de certains contenus sur les réseaux sociaux. |